Résumé :
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La pratique des activités physiques et sportives participe, dans une certaine mesure, à l’amélioration du bien-être des personnes handicapées. Elles en tirent des bénéfices physiques et psychiques. La prise en compte du bien-être des élèves, quel que soit leur âge, de la maternelle à l’université, semble une piste nécessaire à investir par tous les enseignants. Par des pratiques corporelles de bien-être, il semble possible d’aider les élèves à développer des compétences pour leur apprendre à mieux se connaître, à accroître leur concentration et leur attention, et à agir, in fine, sur leurs compétences psychosociales. Ces pratiques peuvent contribuer notamment à inclure tous les élèves, y compris les plus fragiles. Qu’en est-il des possibilités de pratique offertes à ces élèves dans le milieu scolaire ?
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