Résumé :
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L’admission de personnes âgées ayant vécu à la rue en résidence autonomie ou en EHPAD fait suite à un long parcours, voire un cheminement pendant des mois et même souvent des années avec un travailleur social. Souffrant souvent d’un vieillissement prématuré (du fait de leurs conditions de vie très dures), ces personnes se retrouvent «jeunes» seniors à côtoyer de «vieux» seniors au sein de l’établissement. Leurs pathologies et leurs vulnérabilités nécessitent une prise en charge adaptée. Après une première partie parue dans le n°5 de mai 2020, cette seconde partie aborde la question de l'adaptation du projet de soins pour ce public précaire.
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