Résumé :
|
En vertu de la loi, tout usager d’ESSMS est un citoyen et doit prendre en charge son destin avec les femmes, les hommes et les structures qui l’accompagnent. La question du pourquoi semble donc bien être réglée... mais l’est-elle vraiment ? Les ESSMS disposent maintenant d’une panoplie d’outils, plus ou moins adaptés, qui ont fleuri depuis quelques années : développement de la capacité d’agir (alias DCA ou empowerment), travail social en résonance, co-construction des projets, co-information, construction de sens (certains préfèrent "sensemaking", mode anglo-saxonne oblige), etc. Où en est-on ? De plus, il ne faut pas oublier que ces "approches participatives" exigent un travail d’appropriation et une mise en perspective au niveau des équipes professionnelles. (R. A.)
|