Résumé :
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La contraception et le désir de parentalité chez les personnes handicapées mentales soulèvent de nombreuses problématiques éthiques, sociales et juridiques. Si, pendant longtemps, en l'absence de législation, des actes de stérilisation de jeunes filles handicapées mentales en institution ont pu être pratiqués sans même leur consentement, depuis la loi du 4 juillet 2001 relative à l'interruption volontaire de grossesse (IVG) et à la contraception, cette pratique est strictement encadrée. Le point sur les conditions à respecter en cas de recours à la stérilisation contraceptive ainsi que sur la recherche du consentement de la personne handicapée.
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