Résumé :
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Les États généraux du travail social ont pour ambition de refonder le travail social. L’un des axes retenus est la place de l’usager et sa participation à l’élaboration des politiques sociales. Le cas d’usagers en situation d’isolement et de vulnérabilité interroge cet axe et met en lumière les limites du modèle participatif dans le contexte actuel. Face à l’injonction législative de participation des usagers, comment les relations entre les différents acteurs de l’intervention sociale, (usagers, bénévoles, professionnels, institutions) peuvent-elles être repensées pour répondre aux devoirs d’assistance et de protection ? Quels sont les enjeux pour les responsables des institutions du travail social ? (R. A.)
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