Résumé :
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Pour vivre une relation sociale, l’homme a besoin de communiquer et de parler. Pour cela, il utilisera ses compétences linguistiques mais aussi et surtout ses fonctions cognitives comme l’attention, la mémoire de travail, le contrôle exécutif et émotionnel, la planification de son discours et la mémoire. Chez les traumatisés cranio-cérébraux, le langage et la communication sont touchés et laissent un handicap invisible sous-estimé et mal compris pouvant participer à l’isolement du blessé, voire à sa marginalisation. (R.A.)
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