Résumé :
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L'amour n'est-il pas plus tabou que le sexe ? L’idée d’un "droit à la vie affective" réduit à un "droit à une vie sexuelle" reste toujours ambiguë, qui plus est pour des personnes en situation de handicaps. Qu’elles vivent en institution ou non, qu’elles soient jeunes ou d’un âge avancé, à cause d’un handicap mental ou physique, des personnes sont privées parfois de vie affective. Comment le travail social traite de ce qui pourrait bien apparaître comme un tabou plus pernicieux que la vulgate sexuelle ? (RA)
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