Résumé :
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Les récents pics de pollution aux particules ont rappelé toute l'acuité du problème. Même si le bilan de la circulation alternée, instaurée une journée en Ile-de-France, a été plutôt positif, cet épisode a montré les limites des mesures d'urgence et la nécessité d'actions plus pérennes. Sur fond de contentieux européen, la nouvelle ministre doit s'attaquer à des questions dérangeantes comme la réduction du trafic routier ou la "dédiésélisation" du parc automobile. Bien qu'il s'agisse pas de la seule source de pollution, le trafic automobile contribue de façon majoritaire à la pollution de proximité. Ségolène Royal semble en être convaincue puisqu'elle a déclaré qu'il fallait "en terminer petit à petit avec les voitures diesel". Pour cela, la ministre entend développer le véhicule électrique plutôt que de passer par une fiscalité écologique jugée "punitive". (extrait introduction)
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