Résumé :
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L'approche dans les pathologies neurologiques centrales, et notamment dans la sclérose en plaques, a longtemps été de déconseiller le renforcement musculaire. Pourtant le déficit musculaire est une composante importante du handicap, particulièrement des troubles de la marche. Les dynamomètres isocénétiques permettent une quantification précise du déficit musculaire et ainsi la mise en place de protocole de renforcement musculaire spécifique, notamment en isocinétisme. Dans cet article, les auteurs présentent une synthèse des protocoles d'évaluation isocinétique et l'apport des techniques de renforcement musculaire dans la scérose en plaques. (RA)
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