Résumé :
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Tout sépare a priori un corps altéré d'un corps sportif, au point qu'il peut être difficilement pensable de favoriser l'accès de jeunes présentant une déficience physique à une pratique sportive. Il s'agit de montrer que les représentations communes sous-estiment grandement leurs possibilités et qu'ils peuvent tirer de cette pratique des bénéfices définis en termes d'accomplissement personnel et de lien social, en y trouvant notamment matière à une dynamique identitaire positive. L'école ayant à jouer un rôle déterminant dans l'accès de tous les élèves à ces activités, des conditions sont envisagées pour que des jeunes dont le corps est altéré soient en mesure de le mobiliser avec profit en EPS. (RA)
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