Résumé :
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Le propos de Gérard GUILLOT concerne le rapport existant entre le handicap et la créativité. Il traite ce sujet grave, qui soulève notamment le problème de l'exclusion de l'Autre, mais parvient à l'aborder avec légèreté, "la légèreté du pensif" de I. CALVINO. En effet, ils sait que les personnes handicapées désirent être considérées comme nos égaux. Sans doute provocateur, il se demande si le handicap ne rend pas créatif - et dans ce cas, si les personnes handicapées n'auraient pas de la "chance" ? La créativité suppose-t-elle un handicap et alors pourquoi ? La créativité est-elle une compensation du handicap et en quoi ?
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