Résumé :
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Si les dernières générations d'implants cochléaires permettent à la majorité des adultes devenus sourds une compréhension rapide de la parole sans lecture labiale, la perception de la musique reste encore une étape difficile à franchir. Néanmoins, les demandes vis-à-vis d'une audition non plus tournée uniquement vers le côté utilitaire, mais aussi vers le plaisir, deviennent de plus en plus fréquentes. L'écoute de la musique en fait naturellement partie. L'auteur essaie de comprendre ce qui rend cette écoute et cette reconnaissance difficiles à appréhender, afin de pouvoir proposer une prise en charge adaptée à la demande de chacun.
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