Résumé :
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Conformément à la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale, tous les établissements du social et du médico-social auraient déjà dû procéder à une évaluation, ce qui est loin d'être le cas, tant les réticences sont grandes. Si certains considèrent l'évaluation comme une chance pour l'action des professionnels d'autres y voient plutôt une menace. Ce dossier présente l'exemple de l'association Marie Moreau qui, en privilégiant la démarche participative et en se concentrant sur les moyens mis en oeuvre, a su fédérer les énergies et lever les réticences.
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