Résumé :
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Les auteurs s'interrogent sur les hypothèses selon lesquelles les familles grecques seraient de loin les meilleures dans la prise en charge des enfants et des adolescents handicapés physiques. Ils identifient les théories qui aident à expliquer ce phénomène et insistent sur les notions de dominant-dominé, surprotection, dépendance, isolation, dans les rapports entre les parents et les enfants handicapés dans la société grecque. Ils s'appuient sur la littérature existante pour examiner les relations, le fonctionnement psychologique et social des adolescents handicapés dans leurs relations avec leur famille.
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