Résumé :
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Si, depuis les lois de 1975, l'orientation dans un établissement médico-social d'un jeune en situation de handicap est prononcée par une commission mais décidée par la famille, qu'en est-il du consentement réel de cette dernière ? A partir d'exemples, l'auteur tente de réfléchir autour de deux questions fondamentales : d'une part, peut-il exister un consentement à la prise en charge globale proposée par l'établissement ou seulement du consentement partiel à telle aide, à l'exclusion des autres ? Les lois récentes cherchent à améliorer les droits des familles et à mieux évaluer le respect de ceux-ci.
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