Résumé :
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Michel CHAUVIERE fait ici le bilan de la mobilisation des professionnels occasionnée par les états généraux du social qui ont eu lieu en octobre 2004. Elle a eu pour effet de faire renaître le débat et de libérer la parole sur le travail social, les formations, le rôle des cadres, etc. L'ex-président de l'association "7, 8, 9 VEGS" répond aux critiques que les états généraux ont suscité : feu de paille, mouvement passéiste et reflétant une incapacité à s'adapter à la nouvelle donne sociale.
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