Résumé :
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La première partie de l'article pose la question d'une part de l'interprétation des anomalies cérébrales observées en imagerie, et d'autre part de la compréhension de ce phénomène du "tout cérébral". La question est de savoir jusqu'où aller dans l'escalade des investigations lourdes à la recherche d'éléments concrets susceptibles essentiellement de nous rassurer. La deuxième partie souligne l'intérêt de la subjectivité. Celle-ci s'inscrit dans une dynamique relationnelle et permet de travailler sur le(s) possible (s) sens des symptômes. La troisième partie propose de mieux comprendre les liens entre le psychisme (désirs, croyances, émotions...) qui relève de la subjectivité et de notre humanité, et la biologie avec ses substrats organiques (molécules, neurones, neurotransmetteurs...) qui offrent des données mesurables, quantifiables, reproductibles et apparemment objectivables. Enfin sont présentés les intérêts d'un approche psychodynamique et biologique appliquée à l'étude du développement normal et pathologique de l'enfant et de l'adolescent.
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