Résumé :
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Fini le maquis des années soixante-dix : les lieux de vie, ces microstructures d'accueil voient leur spécificité respectée et intègrent de plein droit le dispositif de l'action médico-sociale. Cette légitimité est le fruit d'une mobilisation sans faille des organisations représentatives des lieux d'accueil non traditionnels et de leurs partenaires. Cependant certains points restent en débat, comme le statut des permanents, leur reconnaissance professionnelle, et le financement de l'accueil des personnes en difficulté d'insertion sociale. Malgré tout, ce n'est pas le projet politique fondateur des lieux de vie qui semble validé ici, mais bien des savoir-faire en matière d'insertion. Cet article fait le bilan de la question.
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