Titre : | Plan d'action sur la santé mentale pour l'Europe : relever les défis, trouver des solutions |
Auteurs : | Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Bureau Régional de l'Europe (Copenhague, DNK) ; Organisation mondiale de la santé -OMS Conférence ministérielle européenne de l'OMS sur la santé mentale. (12/01/2005; Helsinki) |
Type de document : | Congrès |
Editeur : | Copenhague [DNK] : OMS Bureau régional de l'Europe, 2005 |
Langues: | Français |
Mots-clés : | Psychopathologie ; Santé mentale ; OMS ; Santé publique [généralité] ; Accès soins ; Personne handicapée ; Prévention santé ; Qualité soins ; Discrimination ; Financement ; Europe ; Qualité vie ; Handicap psychique ; Système santé |
Résumé : | Les 52 Etats membres de la Région européenne de l'OMS ont adopté le 14 janvier 2005, la Déclaration et le Plan d'action sur la santé mentale pour l'Europe, à l'occasion de la Conférence ministérielle européenne de l'OMS sur la santé mentale organisée à Helsinki, qui avait pour problématique : comment parvenir à un meilleur "bien-être mental" pour tous ? En introduction, le plan d'action affirme que "la santé mentale et le bien-être mental sont des conditions fondamentales à la qualité de la vie, confèrent un sens à notre existence et nous permettent d'être des citoyens à la fois créatifs et actifs. (...) Par la promotion de la santé mentale, on peut améliorer la qualité de vie et le bien-être mental de l'ensemble de la population, notamment des personnes atteintes de problèmes de santé mentale et de leur entourage. L'élaboration et la mise en oeuvre de plans efficaces de promotion de la santé mentale permettront de parvenir à un meilleur bien-être mental pour tous". Or, dans l'ensemble de la région européenne de l'OMS, les pathologies et les décès liés aux troubles mentaux sont en augmentation. Pour répondre à ces phénomènes, le plan formule plus d'une centaine d'actions que les Etats signataires s'engagent à développer entre 2005 et 2010. L'un des axes majeurs tient à la lutte contre la stigmatisation et la discrimination. Les participants ont également insisté sur la nécessité de garantir l'accès à des soins de santé primaires de qualité aux personnes atteintes de problèmes de santé mentale, et ont notamment recommandé, la mise en place de services de proximité spécialisés, accessibles 24 heures sur 24, sept jours sur sept. |
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