Résumé :
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Des bâtiments vétustes, dégradés, inconfortables et une extension du nombre de lits étaient à l'origine du projet de reconstruction de la maison d'accueil spécialisée A. Berge accueillant des adultes souffrant d'autisme ou de psychose. Cet article met l'accent sur l'oubli de négociation entre les soignants et les architectes. Après les travaux, il s'avère que cette MAS est devenue un lieu de vie neutre, sans passé, sans souvenirs. Une architecture qui a oublié la présence des patients ainsi que leurs difficultés et leurs souffrances. Si l'auteur n'explique pas comment construire pour des personnes déficientes mentales, il montre ce qu'il convient d'éviter.
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