Résumé :
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La période de rééducation du traumatisé crânien est suivie d'une exclusion des groupes auxquels il appartenait : relations professionnelles ou de loisirs, amis et, parfois même, famille. Cette exclusion totale ou pratielle, selon la gravité des séquelles et la qualité de l'entourage, contribue à destructurer la personne accidentée. L'acceptation du handicap et les modifications de la personnalité qu'il entraîne son très difficiles à vivre pour l'intéressé et sa famille, comme le montrent plusieurs témoignages donnés ici.
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