Résumé :
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La notion de qualité de vie dont il n'existe aucune définition faisant l'unanimité est utilisée fréquemment par les professionnels de la réadaptation pour justifier leurs programmes thérapeutiques. Mais les échelles d'évaluation de qualité de vie ne mesurent que des performances donnant des informations sur les incapacités fonctionnelles des patients. Or, en écoutant les personnes handicapées physiques, on note qu'à côté des contraintes matérielles qui limitent l'indépendance, il existe des attitudes négatives les empêchant de s'affirmer comme sujets et de jouir d'une véritable autonomie.
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