Résumé :
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Les personnes en grande précarité souffrent souvent de dépressions, d'anxiété, présentent des conduites addictives et une automédication aux psychotropes ; elles sont souvent connues des services de psychiatrie, mais ne souhaitent pas garder de contact avec eux. Ces personnes subissent une dépersonnalisation et deviennent passives, puis dépressives, car elles perdent toute identité sociale. Malgré la multiplication des structures de soins, les "exclus" ne viennent pas consulter et il n'y a pas de continuité de l'aide médico-psychologique.
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