Résumé :
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Pour l'auteur, à terme : - soit les organismes employeurs seront laissés libres de gérer leurs ressources humaines dans des limites financières prédéterminées, ils devront justifier de leurs prestations ; les conventions collectives ne seront que des minimas... ; - soit l'Etat conservera le monopole de la labellisation des "bons accords", mais alors il devra sérieusement modifier sa propre vision des règles de management des organismes privés, et des évolutions sociétales... Il devra également s'adapter aux conséquences de sa volonté décentralisatrice... On ne peut à la fois centraliser l'agrément et déconcentrer les décisions financières... Pour passer des contrats, il faut des contractants civilement capables de contracter.
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