Résumé :
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Environ 1/4 à 1/3 des traumatisés crâniens graves obtiennent une réinsertion en milieu ordinaire de travail pour laquelle il est nécessaire de tenir compte des spécificités du handicap : troubles de la mémoire, de l'auto-critique ; lenteur : perturbations de la communication ; difficultés de planification ; défaut d'initiative, de motivation et de contrôle émotionnel. Les facteurs environnementaux et le facteur temps sont également importants. C'est pourquoi la coordination est nécessaire entre le blessé, sa famille, le corps médical et les établissements sociaux. Un suivi à long terme par un référent (médecin, neuro-psychologue, chargé d'insertion) est souhaitable
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