Résumé :
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L'auteur dénonce une violence sournoise et invisible qui concerne les personnes handicapées mentales hébergées en institution ou dans la maison de leurs parents : celle de la simplicité et de la qualité de vie : la personne handicapée n'aurait pas besoin de grand chose, à peine le gîte et le couvert, et pourquoi former du personnel pour s'en occuper. Au-delà de la famille qui évince doucement la personne, la prive de ses droits, les tutelles ou curatelles n'assument pas forcément la protection dont ces personnes auraient besoin.
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