Résumé :
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Analyse fine des facteurs innés (biologiques, constitutionnels) et acquis (environnementaux) dans le développement moteur, cognitif, et même le bien-être de l'enfant, notamment handicapé. L'auteur montre la primauté des facteurs constitutionnels et assigne une place différente à l'environnement social et affectif : celui-ci n'existe pas a priori, mais pour un enfant donné. Beaucoup d'apprentissages échappent par ailleurs à une intervention consciente et volontaire de l'entourage. Tout cela doit amener éducateurs et rééducateurs à reconsidérer leur rôle et à accepter de tenter de compenser les pertes de capacité d'adaptation sans pouvoir restaurer cette capacité elle-même.
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