Résumé :
|
Le rôle des professionnels de la santé publique et des chercheurs épidémiologistes dans la prévention de la violence à l'adolescence, par exemple fournir aux pouvoirs publics de meilleurs indicateurs que les simples taux de mortalité, comme par exemple le nombre d'années potentielles de vie de perdue. Les auteurs concluent en insistant sur le fait que toute stratégie de prévention proposant à l'adolescent une image négative de lui-même ne peut être que contre productive. Il est de la responsabilité des professionnels de la santé publique, dont les écrits sont utilisés par les médias, de ne pas contribuer à la pérennité de cette image péjorative et déformée de l'adolescence.
|