Résumé :
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La spécificité du traumatisme crânien requiert des réponses particulières : nécessité d'évaluer les capacités restreintes puis, au vu de celles-ci, orientation par la COTOREP vers le milieu ordinaire ou protégé. Pour favoriser l'indépendance du sujet, des lieux où sont appliqués des programmes spécifiques existent en France mais en quantité limitée. Malgré des difficultés d'apprentissage et le ralentissement des performances, 1/4 à 1/3 des traumatisés crâniens retrouvent une activité professionnelle. Propositions diverses.
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