Résumé :
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Il n'est pas utopique de chercher des formules nouvelles en matière d'hébergement, qui minimisent les inconvénients de la vie collective. Que ce soit en invantant de nouvelles solutions comme les "Cantou" ou en attachant du prix à l'évaluation de la qualité de vie. La vie en collectivité n'est pas toujours facheuse, dans la mesure où elle s'exerce dans un esprit de choix. La part d'autonomie, de vie personnelle que respecte l'institution est l'indicateur le plus significatif de la qualité de vie, au-delà des handicaps qui de toutes façons entravent aussi la liberté de la personne vivant chez elle ou en famille.
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