Résumé :
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La théorie du coping a permis, depuis une vingtaine d'années, d'engager de nombreux travaux (surtout aux U.S.A., en Angleterre et en Allemagne) sur les réactions des personnes face à des situations stressantes : maladies graves, ruptures, perte d'emploi... Les auteurs présentent cette théorie et la critiquent à partir du processus de personnalisation, c'est-à-dire du développement de la personne en situation. Ils mettent l'accent sur l'importance des modes de coping décrits : défoulement ou contrôle émotionnel, restructuration cognitive, demande d'aide instrumentale ou affective, addictivité, recours à la religion, conversion de soi, régulation temporelle, retrait mental et comportemental, auto-accusation.
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