Résumé :
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Il s'agit d'une note de synthèse d'un rapport publié en 1993. D'après l'échantillon retenu, la population au chômage est marquée par une plus grande vulnérabilité sociale et est souvent ayant droit, prise en charge à 100%. Les chômeurs sont dans l'ensemble en meilleure santé que les travailleurs, consultent plus facilement un médecin, mais un nombre non négligeable présentent une polypathologie laissant supposer une santé détériorée. Les chômeurs sont plus nombreux à déclarer souffrir d'anxiété, céphalées, vertiges, dépression. Une réinterrogation un an plus tard révèle des problèmes de dépression.
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