Résumé :
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La consistance de l'entité troubles de la conduite et du comportement n'est pas sans poser problème, en particulier quant à son positionnement en référence aux grandes catégories cliniques qui contribuent à structurer le découpage institutionnel du dispositif français actuel. Comment situer les enfants et les adolescents qu'on dit présenter des troubles de la conduite et du comportement face au champ sanitaire axé sur les troubles de la personnalité, au champ des institutions sociales, éventuellement habilitées par la justice, centrées sur l'inadaptation sociale et aux équipements médico-sociaux dont relève en particulier la déficience intellectuelle ?
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