Résumé :
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"L'auteur, après avoir rappelé les études classiques de Freud, Fenichel, De Greeff et Lagache, fait la revue des travaux contemporains sur les relations dépression-homicide et meurtre-suicide. Deux observations de meurtres familiaux commis pendant un épisode dépressif sont ensuite longuement rapportées. Deux constatations découlent des analyses précédentes : la sous-estimation du facteur dépressif dans les passages à l'acte homicides et la nécessité de réformer la pratique de l'expertise psychiatrique pénale. L'auteur conclut que les mouvements dépressifs et suicidaires doivent être rangés parmi les meilleurs prédicteurs de dangerosité psychiatrique."
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