Résumé :
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"Questionnement sur l'importance d'un mode d'appréhension visuelle du monde de la part des sourds, qui non seulement se traduit spontanément dans leurs productions écrites -que ces sourds pratiquent ou non la L.S.F.- mais semble déterminer un mode de pensée qui leur serait propre. L'abord précoce du français oral est-il à remettre en cause avant que la L.S.F., langue de référence, ait induit cette "pensée première" ? Ne doit-on pas repenser les conditions et stratégies adéquates pour répondre à cette spécificité ?"
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