Résumé :
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"Les résultats de cette étude nous montrent bien que malgré les préjugés de la famille, le retour à domicile ne pose pas de problèmes majeurs pour la majorité des patients, puisque dans deux cas seulement, le placement a été nécessaire pour cause de non prise en charge par la famille et dans un cas de patient grabataire. (...) Ceux ayant repris une activité professionnelle ont peu de problèmes de réintégration; parmi les autres : 42 %, aidés par leur entourage, se sont repris en charge comlètement et mènent une vie proche de celle qu'ils menaient avant l'accident; 23 % sont stimulés constamment par la famille qui veille à ce qu'ils ne "se laissent pas aller" et qu'ils mènent une vie sociale correcte. Néanmoins plus d'un tiers de ces patients sont devenus apathiques ou dépressifs, n'ont aucune activité."
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