Résumé :
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[BDSP. Notice produite par FNG nnR0xlCl. Diffusion soumise à autorisation]. La maladie d'Alzheimer est probablement une des pathologies de la cognition, qui est la plus sensible à l'empathie. Cela conduit à s'interroger sur les facteurs psychologiques qui pourraient participer à l'évolution, mais aussi à l'expression clinique. Cela conduit aussi à poser la question (en termes de modélisation) de l'articulation des phénomènes neurologique et psychologique, que ce soit du point de vue cognitif, subjectif ou émotionnel. Et, quoi qu'il en soit, une réflexion complémentaire s'impose sur la question de la prise en charge des malades, dans ses aspects non médicamenteux et sur l'accompagnement psychologique des aidants, qu'il s'agisse des professionnels ou de la famille du malade. (R.A.).
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