Résumé :
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L'auteur présente les différents cas dans lesquels la question de l'anonymat peut être sujette à interrogations, bien que l'obligation du secret professionnel soit instituée dans le Code de déontologie médicale, tout comme le droit du patient au respect de sa vie privée et au secret des informations le concernant. Les six cas présentés ici sont ceux pour lesquels l'anonymat est juridiquement identifié à l'hôpital : celui du don et de l'utilisation des produits du corps humain, celui de l'accouchement sous X, celui de l'hospitalisation des toxicomanes, celui du contrôle des établissements de santé, celui de la surveillance épidémiologique, et enfin le cas des centres de dépistage anonymes et gratuits (CDAG) et des centres d'information de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles (CIDDIST).
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