Résumé :
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[BDSP. Notice produite par OBRESA tE8ksR0x. Diffusion soumise à autorisation]. Cette étude souhaite étudier l'intensité de la mortalité néo-natale dans la province de Denizli, en Turquie, sur une période de 5 ans et examiner le rôle des services de soins de santé primaires "de routine" fournis aux mères et aux bébés par le Ministère de la Santé afin de réduire la mortalité néo-natale, en déterminant les facteurs causaux importants. Une étude de cohorte rétrospective a été conduite d'après les données de santé de la direction de la Santé de la Province de Denizli. Les données ont été recueillies sur une période de 5 années pour un total de 119 unités primaires responsables de la dispense de soins primaires complets à tous les résidents de la province. Un échantillon, d'après une régression en loi aléatoire de Poisson, a été constitué pour étudier le lien entre "les soins des unités de surveillance (mères et bébés) dispensés par le personnel d'unité de santé primaires" et la mortalité néo-natale. Selon les résultats de cette étude, le modèle a révélé "que la surveillance", c'est-à-dire, le nombre moyen de visites régulières de la mère (prénatales et postnatales) et des bébés pendant la période néo-natale, avait un impact positif sur la diminution du taux de mortalité infantile néo-natale. Dans le modèle final, en retenant le nombre total de naissances vivantes dans la zone desservie en soins de santé, on a constaté que la mortalité néo-natale est négativement liée au ratio population/infirmière, population/sage-femme, ainsi que le nombre de prématurés et le nombre de naissances au poids insuffisant, alors que les accouchements dans un cadre hospitalier diminuent le risque de mortalité néo-natale de façon significative. Les conclusions de l'étude sont importantes, révélant que les taux de mortalité néo-nataux pourraient être diminués de façon significative en augmentant le nombre de visites de santé régulières des mères et des nouveau-nés dans les unités des soins de santé primaire, sans besoin d'un personnel de santé spécialisé ni de coûts supplémentaires. (Résumé d'auteur).
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