Titre : | Rapport d'information sur la mise en oeuvre du plan cancer. |
Auteurs : | Gérard Bapt, rapp. ; Assemblée Nationale (Paris, FRA) |
Type de document : | Rapport |
Editeur : | Paris [FRA] : Assemblée Nationale, 05/07/2006 |
Collection : | Rapport d'information de l'Assemblée Nationale , num. 3249 |
Description : | 124p. pdf / tabl., ann. |
Langues: | Français |
Mots-clés : | Institut national du cancer ; Cancer ; Cancérologie ; Plan ; Lutte ; Financement ; Prévention santé ; Dépistage ; Offre soins ; Hôpital ; Centre anti cancéreux ; Qualité soins ; Recherche médicale ; Condition vie ; Qualité vie ; Malade ; Politique santé ; Ministère santé ; Organisme gouvernemental ; Gestion financière ; Audit ; Dysfonctionnement ; Bilan ; France |
Résumé : | Le plan cancer, lancé le 24 mars 2003 par le Président de la République, comprend 70 mesures destinées à renforcer la lutte contre le cancer dans tous les domaines : prévention, dépistage, recherche, soins, accompagnement des malades... Une mission interministérielle pour la lutte contre le cancer, dirigée par Mme Pascale Briand, a mis en place les premières actions du plan. La loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique a créé l'Institut national du cancer (INCa), définitivement installé le 24 mai 2005. Ce rapport dresse un premier bilan de la mise en oeuvre du plan cancer, un an avant son échéance. Il examine tout d'abord la mise en place de l'INCa et rend compte notamment du contrôle effectué par le rapporteur, suite à certaines accusations portées contre l'institut mettant en cause ses frais de fonctionnement. Ce contrôle sur pièces et sur place a permis au rapporteur de constater que si, certaines accusations sur la gestion de l'institut étaient diffamatoires, sa gouvernance connaissait des faiblesses, susceptibles de créer des tensions avec ses partenaires et de ralentir la mise en place des actions prévues par le plan cancer. Puis, le rapport examine les différents volets de la politique de lutte contre le cancer soulignant les avancées et les limites de cette politique. En effet, si le rapporteur tient à saluer l'impulsion donnée par le plan cancer, beaucoup reste encore à faire, tant les chantiers sont nombreux. La clarification du rôle des acteurs et leur articulation avec des réseaux de soins labellisés, l'accélération des programmes de dépistage, le confortement des moyens financiers des hôpitaux et des centres de lutte contre le cancer, le développement de la recherche clinique et l'amélioration de l'accompagnement psychologique et social des malades sont toujours, aujourd'hui, des priorités. |
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