Titre : | Pour une meilleure protection de la personne lors d'une décision d'entrer ou de ne pas entrer en institution. (2005) |
Auteurs : | R. Moulias |
Type de document : | Article |
Dans : | Gérontologie (n° 136, 2005) |
Pagination : | 13-32 |
Langues: | Français |
Mots-clés : | EHPAD ; Médecin coordonnateur ; Entrée ; Placement institution ; Personne âgée ; Consentement ; Libre choix ; Domicile ; Conscient ; Famille ; Conjoint ; Culpabilité ; Isolement social ; Structure sociale personne âgée ; Réforme ; Tarification ; Médicalisation ; Handicap ; Echelle dépendance ; Gériatrie ; Soins ; Proposition ; Formation ; Relation famille soignant ; Liste attente ; Décision médicale ; Information malade ; Démence ; Ethique ; Accès soins ; Filière soins ; Service urgence ; Adaptation ; Refus soins ; Protection sociale ; Accueil ; Protection personne ; Mode sortie ; Soutien domicile ; Maltraitance ; Ennui ; Décision ; Unité soin longue durée ; Pathologie ; Histoire de vie ; Entourage ; Soutien informel |
Résumé : | [BDSP. Notice produite par FNG LAcAR0xX. Diffusion soumise à autorisation]. La décision d'admission en institution pour personne âgée qui devrait être consentie n'est souvent pas entourée du minimum de garanties et de compétences que devrait exiger une décision d'une telle importance. Chaque jour de telles décisions sont prises avec des objectifs qui ne concernent pas la personne mais la structure qui la prend en charge, véritable abus de pouvoir. La décision d'entrer en institution pour y finir des jour est une des décisions les plus importantes qu'une personne ait à prendre durant son existence. Elle survient en des circonstances où la vieille personne est particulièrement vulnérable, parfois incapable de recevoir l'information, donc d'un consentement ou d'un refus "éclairé". (tiré du texte). |