Titre :
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Karakteristieken van definitieve opname van volwassenen : De resultaten van de Belgische huisartsenpeilpraktijken. (2000)
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Titre original:
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Characteristics of final institutionalisation of adult patients : Results of the Belgian Sentinel General Practitioners.
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Auteurs :
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D. DEVROEY ;
J. DE LEPELEIRE ;
V. VAN CASTEREN ;
Wetenschappelijk Instituut Volksgezondheid - Louis Pasteur Brussel. BEL
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Type de document :
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Article
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Dans :
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Archives of public health (vol. 58, n° 1, 2000)
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Pagination :
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7-21
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Langues:
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Néerlandais
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Mots-clés :
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Belgique
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Europe
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Epidémiologie
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Evaluation
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Personne âgée
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Homme
;
Etat santé
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Maison retraite
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Profession santé
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Rôle du professionnel
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Recommandation
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Soins
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Soins domicile
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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST fnsTR0xi. Diffusion soumise à autorisation]. Le but de cette étude était d'estimer le nombre de placements définitifs chez les adultes. En plus les pathologies et conditions de vie préexistantes, le caractère urgent et la procédure de placements ont été analysés. En Belgique, le réseau des médecins vigies existe depuis 1979. Les médecins qui y participent sont représentatifs des généralistes belges en ce qui concerne l'âge, le sexe et la répartition géographique. En 1994,143 médecins généralistes ont participé à l'enregistrement des données concernant les patients qui furent l'objet d'un placement définitif. Au cours de cette année, 297 patients furent enregistrés. D'après notre estimation, les médecins généralistes sont intervenus dans le placement définitif de 1% de la population de 60 ans et plus. Le motif de placement le plus souvent incriminé était pour les deux sexes la démence et plus de la moitié des femmes se plaignait des limitations du système locomoteur. Le placement était le plus souvent motivé par un manque d'autonomie. Dans près de 60% des cas, les placements ont dû être précédé d'une hospitalisation. Deux tiers des patients étaient mis sur une liste d'attente avant de bénéficier du placement définitif. En Wallonie, la période d'attente était sensiblement plus courte qu'en Flandres. Les équipes de soins à domicile ne furent consultées que dans 16% des cas. Une distinction est notée entre la Wallonie où 27% des placements étaient discutés avec l'équipe soignante contre seulement 12% en Flandres. (...)
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