Résumé :
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Aujourd'hui, la majorité des médecins généralistes ordonnent au moins un médicament sur dix en dénomination commune (DC), et 25% plus d'un sur quatre. Un véritable changement d'habitude. Plus de trois mois après leur engagement à prescrire en DC et en génériques, en contrepartie de la revalorisation de la consultation, les médecins s'acheminent-ils vers un respect de l'accord ? Aujourd'hui, un médicament sur deux délivré dans la Marne est un générique. Un logiciel d'aide à la prescription sera testé par une vingtaine de médecins. Les médecins prescrivent en DC et dynamisent ainsi un marché stagnant. La réglementation sur les génériques impose aux médecins, aux pharmaciens et aux industriels un certains nombre de contraintes répondant notamment à une logique de sécurité.
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