Résumé :
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Face aux difficultés de l'Etat-providence en Italie, les coopératives sociales italiennes, reconnues par la loi n°381 de novembre 1991, se sont rapidement imposées comme un acteur important dans le domaine de la protection sociale et de la réinsertion. C'est une expérience originale à la fois au niveau de la décentralisation et de la mise en relation d'une pluralité d'intervenants (usagers, travailleurs, bénévoles, administrations locales). Ces coopératives se regroupent dans des consortiums locaux permettant d'offrir la palette de services la plus large. Des expériences similaires apparaissent en Belgique, en Espagne et en France.
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