Résumé :
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Un nouveau type de relation s'instaure actuellement en France ; l'information du patient et son consentement en sont une dimension essentielle. Les textes récents le montrent à l'évidence. Des lois dites de "bioéthique" de juillet 1994 inscrivant le consentement du patient à tout acte médical comme principe légal, en passant par la circulaire DGS/DH/95 du ministère de la Santé, de mai 1995, qui promulgue les droit des patients par une charte du patient hospitalisé le nouveau code de déontologie médicale de 1995 impose le respect du refus de traitement, qu'il cite explicitement, à la dernière loi du 4 mars 2002, on ne peu plus considérer le patient comme un incapable ou comme un potentiel plaideur, mais comme un partenaire de travail avec lequel il faut communiquer.
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