Résumé :
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[BDSP. Notice produite par ORSMIP R0xSytB3. Diffusion soumise à autorisation]. Comme tous les systèmes de santé socialistes, la Hongrie se caractérisait avant 1990 par une surabondance du personnel médical. Avec l'abandon du socialisme, cette surabondance s'est transformée en pléthore. Depuis une décennie, le système de santé hongrois a adopté le modèle bismarckien et en particulier l'assurance-maladie universelle financée par les cotisations d'employeurs et d'employés. Dans un tel modèle, un nombre trop élevé de médecins entraîne des dépenses exorbitantes de soins médicaux. Le nombre de médecins en activité doit donc être réduit. Toutefois, deux éléments doivent être pris en compte du fait de leur implications politiques et sociales : (a) la réduction des admissions dans les facultés de médecine ne doit pas être si considérable, ni brutale ; (b) le taux de chômage des médecins ne devra pas être trop élevé, le chômage médical n'existant pas aujourd'hui. (extrait résumé).
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