Résumé :
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[BDSP. Notice produite par ORSLR s7B8GR0x. Diffusion soumise à autorisation]. Une fois de plus, le congrès Adelf-Epiter illustre les succès de l'épidémiologie comme discipline indispensable : aux actions de santé, à tous les niveaux de leur réalisation ; à la surveillance et à l'alerte, dont l'exigence s'affirme toujours plus fortement ; à la connaissance, si nécessaire, des phénomènes de santé à l'échelle populationnelle. La réunion des deux associations permet d'avoir une vision plus représentative des intérêts de tous ceux qui d'une façon ou l'autre sont concernés par l'épidémiologie. Nous avons pu ainsi observer quelques exemples de "tendances" : la multiplication d'enquêtes visant à recueillir les avis, points de vue... des acteurs du système de soins... et des patients en médecine de ville et à l'hôpital. Faut-il y voir les prémisses d'une épidémiologie... participative ? la montée en puissance de systèmes d'alerte et de surveillance, contribuant ainsi à l'amélioration constante du dispositif existant et à l'optimisation de son dimensionnement et de ses coûts ; une recherche particulièrement active sur le vieillissement d'une part et dans le domaine santé-société, incluant les questions de santé au travail d'autre part. Ce congrès 2008 proposait un grand choix aux participants, puisque en plus des cinq conférences invitées, plus de cent communications orales et cent vingt affichées, provenant de France et de nombreux pays francophones, sont présentées dans ce numéro spécial. quatre symposiums ont été organisés avec l'aide d'organismes aussi variés que l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments, la Haute autorité de santé, l'Institut des données de santé et Veolia environnement devant permettre d'approfondir des thèmes d'actualité. (Introd.).
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