Résumé :
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Chaque année, des professionnels de la santé et du social vont exercer ponctuellement leur activité à l'étranger, dans des pays développés ou en voie de développement. Loin de l'action humanitaire d'urgence, les projets de coopération souffrent aujourd'hui de financements en baisse pour la santé et d'une volonté politique encore faible des collectivités. Au-delà de l'expérience personnelle, ces échanges valorisent les équipes et les institutions. Et rien de tel que de changer de repères pour réfléchir aux missions remplies quotidiennement en France. Le dossier se poursuit par quelques expériences. Le conseil général de la Seine-Saint-Denis coopère avec une collectivité territoriale roumaine. Un partenariat pour l'enfance et la famille, qui concerne notamment les enfants des rues. Le Crips d'Ile de France répond aux sollicitations provenant de pays en voie de développement. Parmi les actions menées, figure un important travail documentaire en direction de l'Afrique, le partage d'informations et de méthodes sur le sida. Le CHRU de Lille mène des programmes d'échange avec des hôpitaux de quinze pays. Entre autres, avec l'hôpital de Tainjin, en Chine notamment sur les maladies infectieuses.
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