Résumé :
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Cette première partie d'article démontre, qu'à de très rares exceptions, le patient conserve la maîtrise du secret professionnel médical le concernant : ce secret ne lui est pas opposable et il a le droit d'imposer au professionnel de santé le secret absolu ou de sélectionner les informations qu'il pourra communiquer. La deuxième partie d'article qui sera publiée dans le numéro 36, apportera cependant des nuances à cette affirmation : l'exercice de cette prérogative peut entraîner, en effet, des conséquences pour le patient, conséquences, qui en pratique pourront limiter la maîtrise du patient sur ses informations.
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