Résumé :
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Avoir une bonne note, c'est un objectif d'actualité pour les candidats au baccalauréat, mais aussi pour les chanteurs qui concouraient à l'Eurovision, pour les membres du gouvernement français, pour les Etats endettés : AAA, BB- ? CCC ? Aujourd'hui, tout se note, s'évalue. Des salariés aux réfrigérateurs, des voitures aux
articles de presse. Signe de totale transparence ou d'asservissement latent ? Plusieurs articles choisis dans la presse sur le sujet dont voici quelques titres : Obsession des familles, hantise des élèves, peur des Etats. - La première note, du maître à l'élève (A l'école, en 2010, une association voulait les supprimer au primaire. Il n'en fut rien. Juin reste le mois des notes, craintes ou espérées. L'occasion de remonter aux origines, son rôle). - Passer de l'évaluation sanction à l'évaluation construction. - Noter les profs : peut mieux faire (Conflictuelle, la réforme de l'évaluation des enseignants est un des enjeux du quinquennat. Pourtant à Aix, discrètement, une expérimentation semble satisfaire tous les partis. A suivre). - Les classements font la loi dans le supérieur. - Le QI a cent ans (Intelligence, c'est avec l'école Jules Ferry qu'est apparue cette évaluation parfois décriée). - Durant la vie active, elle se donne et se reçoit. - Pour une majorité de fonctionnaires, c'est l'entretien d'abord. - Le salarié peut-il noter son entreprise ? - L'élection, notation à choix multiples. - Les Etats en quête du Graal de bonne gestion. -WWF, sale note pour la planète qui vit au-dessus de ses moyens. - Toutes les civilisations se valent-elles ?
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